Une communication impersonnelle et une possible perte d’identité due à une communication écrite, verbale et physique qui évoluent.
Notes continues et observation constante de la perte du manuscrit à l’ère du numérique, un niveau d’écriture et langage en décroissance, un progrès numérique avec de plus en plus d’écran ? Une barrière de sociabilisation et un possible espace de manipulation ? Quand est-il des nouveaux outils de communication, des réseaux, dialecte 2.0 au niveau de l’apprentissage de la langue ? Ce nouveau langage technologique est-il à la portée de tous ? Les nouveaux outils d’apprentissage de la langue sont-ils adéquats lorsqu’ils sont numérique ? Est-ce que le nouvel apprentissage de la langue est-il facilité ou biaisé ? Est-ce que la saisie automatique de nos appareils, qui nous dicte des mots, propose une orthographe, amènerait-elle à une perte d’expression personnelle ? Quid de notre identité manuscrite ? « la patte » ? serait-elle aujourd’hui une identité numérique ? Le confinement y a t-il participé par l’obligation de se regrouper derrière nos écrans ? Cette barrière écran aurait-elle un rôle de « filtre » de pensée ? Quelles sont les répercussions de la crise sanitaire ? Ou l’évolution de l’apprentissage aux cours donnés sur écran ? Le confinement à l’heure du « chacun chez soi » est-ce un gain de temps ? Est-ce qu’aujourd’hui on a plus de lacune en grammaire ? Un apauvrissement social ? En fait est-ce que l’apprentissage de l’écriture à la main, par des gestes « mémoriels » ne serait-ce pas le plus favorable ? Pour qui cela convient ?